Luc MONNET, le Maire, a
aussi indiqué que selon un historien local, la rue du Paradis tenait
son nom probablement du fait qu’il s’agit d’une ancienne nécropole ou
encore un endroit où l’on enterrait les pestiférés ou morts de la
peste. Sans que personne ne se soit senti concerné par ces origines,
et en remerciant la municipalité pour cette réalisation, Jean-Marie
DESSAUX (un riverain) a donné sa version, avec beaucoup d’humour : les
bois à proximité étaient en réalité les lieux de rencontre des
sorcières ; afin de repousser ces mauvais esprits, il était versé de
façon importante et régulière de l’eau bénite d’où la dénomination : «
rue du Paradis ».
En concluant, le Maire cite un auteur : «Le chemin qui mène à l’enfer
est pavé de bonnes intentions» alors que nous, à Templeuve, nos
réalisations, comme celle de la rue du Paradis, sont pavées de bonnes
intentions ! |