Quand l’Enfer devient le Paradis !

Luc MONNET, Maire de Templeuve, accompagné de membres du Conseil Municipal et de nombreux riverains de la rue du Paradis ont coupé le ruban à la suite des travaux de rénovation de celle-ci.

Ces travaux étaient nécessaires tant la chaussée s’était dégradée au fil des ans. Après quelques années de purgatoire, la dépense d’un montant de 600 000 € a permis de refaire complètement la chaussée, de réaliser une voie douce ainsi que l’éclairage. Cette rue bucolique, particulièrement agréable est aussi un lien, permettant aux engins agricoles de gagner champs et prairies encore très importants dans la Pévèle.

   
   
   
   

Luc MONNET, le Maire, a aussi indiqué que selon un historien local, la rue du Paradis tenait son nom probablement du fait qu’il s’agit d’une ancienne nécropole ou encore un endroit où l’on enterrait les pestiférés ou morts de la peste. Sans que personne ne se soit senti concerné par ces origines, et en remerciant la municipalité pour cette réalisation, Jean-Marie DESSAUX (un riverain) a donné sa version, avec beaucoup d’humour : les bois à proximité étaient en réalité les lieux de rencontre des sorcières ; afin de repousser ces mauvais esprits, il était versé de façon importante et régulière de l’eau bénite d’où la dénomination : « rue du Paradis ».

En concluant, le Maire cite un auteur : «Le chemin qui mène à l’enfer est pavé de bonnes intentions» alors que nous, à Templeuve, nos réalisations, comme celle de la rue du Paradis, sont pavées de bonnes intentions !

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